J’utilise une Heritage Classic. Pour moi, la conduite est un moyen de soulager le stress. Je ne me préoccupe de rien lorsque je suis sur la moto et que je circule. J’apprécie la sensation et l’odeur de l’air, et c’est tout ce à quoi je pense. Je ne fais que rouler et je laisse derrière moi tous les problèmes de la vie. RFD me donne l’opportunité de conduire tout en contribuant à sensibiliser et à promouvoir la recherche, et il est gratifiant de pouvoir accomplir ces deux objectifs simultanément.

John McNeilly a été l’un des membres fondateurs de la Randonnée pour papa d’Edmonton (« MRFD »), dont il a été le coprésident pendant les quatre premières années, et dont il a été le directeur jusqu’à son décès. Il a reçu le prix Kiwanis Top Cop en 2009 pour son travail avec et pour le MRFD.

John a été pendant deux ans le responsable de l’Ouest canadien, supervisant toutes les randonnées dans l’Ouest canadien et a joué un rôle déterminant dans le lancement de randonnées à Didsbury, sur l’île de Vancouver, à Yellowknife, à Saskatoon et à Winnipeg.

Le style discret de John était respecté de tous et son humour parfois noir, mais bien placé, ne manquait pas de donner le ton et l’ambiance d’une réunion. Il ne parlait jamais avant d’avoir réfléchi à sa réponse, et ses conseils étaient judicieux. Il s’est impliqué non seulement dans le MRFD, mais aussi dans le HOG, les Blue Knights, les francs-maçons, pour n’en citer que quelques-uns, et a servi pendant 35 ans au sein du service de police d’Edmonton.

John est entré au service de la police d’Edmonton en 1977, a été promu à l’unité antidrogue en 1988 et a passé le reste de sa carrière en civil, à l’exception d’une période de 18 mois au cours de laquelle il a occupé le poste de sergent. En 1992, John a quitté l’unité antidrogue pour travailler dans diverses autres unités d’enquête. John a reçu la médaille « Police Exemplary Service » en février 1998 et la « First Bar » en 2008. John a pris sa retraite du service de police d’Edmonton le 25 janvier 2013.

John est décédé le 24 mars 2020, à l’âge de 64 ans, après une lutte acharnée contre un cancer du poumon qui s’est propagé dans tout son corps. John manquera beaucoup à sa famille, à ses nombreux amis, à ses collègues et à ses associés.

Difficile de croire que la dernière grande randonnée en groupe pour la Randonnée pour papa remonte à deux ans. C’était un an après mon opération du cancer de la prostate. Mon cancer de la prostate a été détecté grâce au dosage sanguin du PSA que mon médecin m’a demandé d’effectuer lors de mon contrôle annuel, puisque j’avais eu 50 ans six mois plus tôt. Sans le dosage du PSA, mon cancer de la prostate n’aurait pas été détecté à un stade précoce et les chances de survie diminuent au fur et à mesure que le cancer est détecté.

J’étais dans la section VIP juste derrière les dirigeants de la Randonnée pour papa lors du défilé entre le Musée de l’aviation et le bâtiment de la Poste sur Heron Rd. La Randonnée pour papa est une cause qui me tient vraiment à cœur et je fais tout ce que je peux pour aider et collecter des dons en mon nom pour le travail accompli par la Randonnée pour papa. Tous les fonds collectés dans chaque région restent au niveau local et sont consacrés à la recherche et à la sensibilisation sur le cancer de la prostate. VOUS, OUI VOUS, vous pouvez m’aider en faisant un don en mon nom au lien suivant.

https://ridefordad.akaraisin.com/…/pledge/sponsor/donation

Chaque dollar est utile. Alors aidez-moi à atteindre mon objectif cette année, on ne sait jamais, vous pourriez aider votre frère, votre père, votre oncle, voire vous-même.

J’encourage donc tous les hommes à consulter leur médecin et à faire tester leur taux de PSA. Cela pourrait vous sauver la vie

Ken a combiné son amour de la moto et sa passion pour l’organisation de causes caritatives en se portant volontaire comme coordonnateur de site pour le chapitre d’Edmonton du rallye annuel de la Randonnée pour papa (RFD) en 2010. Cette organisation caritative a été créée pour sensibiliser les hommes au cancer de la prostate et pour financer la recherche de meilleures méthodes de détection précoce de ce cancer.

Ironie du sort, c’est un cancer de la prostate non diagnostiqué qui a emporté Ken à l’âge de 59 ans, au début de l’année 2012. Ken laisse dans le deuil son épouse Ilene, deux fils, Christopher et Ryan, et deux filles, Heather et Katherine. Christopher poursuit son travail de graphiste pour soutenir la Randonnée pour papa 2012 d’Edmonton.

Le comité organisateur de la Randonnée pour papa d’Edmonton regrettera le souci du détail et la capacité d’organisation de Ken. Pour mourir complètement, une personne doit non seulement être décédée, mais aussi oubliée, et Ken ne sera jamais oublié par ceux d’entre nous qui font partie du comité d’organisation et dont la vie a été touchée.

Je pleure la perte d’un ami proche que je connaissais depuis de nombreuses années. Ken fait partie de ces personnes qui sont entrées dans ma vie et dont j’ai immédiatement su qu’elles étaient faites pour moi. Je dois persévérer sans Ken pour faire ce qu’il me disait : « fais ceci, cela et l’autre chose ».

Je roule pour mon grand-père qui est décédé d’un cancer de la prostate, pour mon oncle qui est en rémission d’un cancer de la prostate et pour mon beau-père qui nous manque beaucoup.

Il s’agit de nouer des relations au sein de la communauté et de soutenir une cause utile qui permet de sauver des vies.

J’ai participé à la plupart des randonnées d’Ottawa, puis j’ai pris une pause et j’ai ensuite participé à la randonnée de l’Okanagan et maintenant, cette année, à la randonnée de Calgary. Ma raison d’être est de donner un but à mes kilomètres de sourires et, dans ce cas, de soutenir la lutte contre le cancer de la prostate. J’ai un ami de longue date qui n’a pas survécu parce qu’il a été diagnostiqué au stade 4 à l’âge de 71 ans, mais un autre ami de longue date a été diagnostiqué au stade 1 et il est toujours en pleine forme à 74 ans.

On m’a diagnostiqué un cancer de la prostate en 2020, à l’âge de 49 ans.

En mars 2024, j’ai subi une prostatectomie radicale et une lymphhectomie, dont je me remets encore.

Heureusement, avant le diagnostic, je faisais l’objet d’un dépistage régulier en raison des antécédents médicaux de ma famille. Ce dépistage m’a sauvé la vie, car j’étais plus jeune que la moyenne pour un diagnostic de cancer de la prostate.

Je roule pour mes fils, mes frères et mes neveux, dans l’espoir qu’ils n’aient jamais à subir la même chose que moi.